Ce serait un spectacle pour tout le monde, Léa é Léo, deux enfants, deux chenapans, deux questionnements, deux tempéraments, un décor escamotable,qui se découpe, se déchire, se plie, se range, se détache, se dé-scratche ou s’envole, au fur et à mesure, on découvre la perspective, la perspective de quoi (?), des portes en fermeture éclair, de la magie, des disparitions, des départs, un doudou trop collant, de petites et de grandes histoires, Bernard é Ginette qui rodent, les interdits, les pas-permis, des scènes courtes, des allers-venues, des allers-retours, des « allez on y va », des aléas, des humeurs, des expériences, des rumeurs, des monstres, des peurs, de la vadrouille à tout va… Je m’arrête là.